Même si une marque doit s’inscrire dans la pérennité, la solidité, aujourd’hui quelque chose change…
Tout simplement «parce qu’après 60 ans d’apprentissage du marketing, on ne se laisse plus avoir », «parce qu’aujourd’hui, un consommateur de 47 ans est né avec le premier spot de pub à la télé et lui non plus ne se laisse plus avoir », et surtout « parce que beaucoup de marques sont passées du savoir-faire au savoir vendre ».
Le consommateur accepte aujourd’hui que la marque joue avec les valeurs, mais il se réserve le droit, au moindre faux pas, de s’en prendre à elle. Et çà, c’est réellement nouveau, mais finalement très démocratique.
Il aime croire à ce qu’il veut, accepter l’imaginaire que vous lui offrez, mais il ne se laisse pas toujours avoir…
On peut tenter d’emmener les consommateurs vers des univers plaisants, mais on doit aussi les convaincre et les rassurer sur leur acte d’achat.
Cela remet en cause la stratégie de marque, la stratégie de communication que nous conseillons à nos clients. Celui qui reçoit les messages publicitaires a un pouvoir qu’il n’avait pas il y a 20 ans. Il a droit de vie ou de mort sur la marque, en quelques clics sur la toile.
Seules les marques qui auront réussi à créer une vraie relation de confiance avec le consommateur tireront leur épingle du jeu.
Cela signifie que la marque doit envisager et calculer toutes les conséquences de sa communication, mais finalement cela nous arrange nous à l’agence, car enfin on prend le temps de conjuguer stratégie d’entreprise et stratégie de marque et de communication, d’évaluer qualitativement et quantitativement le bien-fondé des actions de communication.
A bien travailler sa marque, on lui donne de la valeur, on lui bâtit un capital-image.
Les gestionnaires et comptables le reconnaissent « auparavant, la marque s’envisageait comme une charge liée au marketing, répartie entre les différentes opérations commerciales (approche ROI) ; aujourd’hui, la marque devient un actif économique lié à la stratégie d’entreprise, c’est-à-dire une opération de haut de bilan valorisant l’entreprise (approche ROE).
Le constat aujourd’hui est que plus de la moitié de la valeur d’une entreprise provient de ses actifs immatériels qui sont autant d’atouts pour gagner en avantages concurrentiels :
Entrepreneurs, vous possédez des actifs qui ne figurent pas à votre bilan : votre image de marque, la confiance que vous accordent clients et fournisseurs, le capital humain… tout cela compose votre goodwill, un capital immatériel qui peut valoir très cher si vous en prenez soin..
A l’agence, nous prônons la « due diligence immatérielle», et nous prenons un réel plaisir à travailler avec nos clients leur stratégie de marque pour bâtir leur capital-image.